En Suisse, payer avec son téléphone est devenu une habitude. Que ce soit en magasin, en ligne ou pour régler des services, des technologies comme le NFC, les QR codes ou les portefeuilles numériques permettent de payer rapidement et sans contact.
Découvre ce qu’est le paiement mobile, comment il fonctionne, quels fournisseurs tu peux utiliser, son niveau de sécurité et les bonnes pratiques pour bien le configurer et l’utiliser au quotidien.
21.10.2025 | Temps de lecture: 3 minutes
Qu’est-ce que le paiement mobile ?
Le paiement mobile désigne tous les règlements effectués avec un appareil mobile comme un smartphone ou une montre connectée. Il englobe :
- Le paiement sans contact via NFC : il suffit d’approcher ton appareil d’un terminal compatible.
- Les paiements par QR code, par exemple avec TWINT ou des applications de petits commerçants.
- Les portefeuilles numériques, où tu enregistres tes cartes et tes avoirs de manière sécurisée.
En Suisse, cette méthode de paiement séduit de plus en plus de monde. Beaucoup préfèrent désormais leur téléphone ou leur montre connectée à l’espèce ou à la carte. Des fournisseurs comme TWINT, Apple Pay et Google Pay offrent plusieurs options, en magasin comme en ligne.
Comment fonctionne techniquement le paiement mobile ?
NFC et tokenisation
Ton appareil doit être équipé d’une puce NFC pour communiquer à courte distance avec le terminal. Lors du paiement, la tokenisation est souvent utilisée : au lieu d’envoyer ton vrai numéro de carte, un jeton temporaire est transmis, ce qui renforce la sécurité.
Paiements par QR code
Avec les paiements QR, tu ouvres l’app, scannes un code ou présentes ton propre code. La transaction est validée via ton compte bancaire, ta carte ou un solde préchargé.
Sécurité et authentification
Avant la validation, l’app ou le wallet te demandent généralement un code PIN, ton empreinte digitale ou une reconnaissance faciale. Garde ton appareil et tes applications à jour : cela corrige les failles de sécurité. De plus, la très courte portée du NFC limite les risques d’interception des données.